SUPERPAUSE
SUPERPAUSE, festival photographique au coeur de Tavers
1ere édition
du samedi 21 septembre au dimanche 20 octobre 2024
Inauguration le 21 septembre 14h30
gratuit, en accès libre
Informations détaillées plus bas
PARCOURS DES EXPOSITIONS
“Casablanca not the movie”, Yoriyas
dans les lavoirs et chez les habitants: lavoir de Paillard, lavoir du Clos Paillard, lavoir Rechou, lavoir Perseran, lavoir de la Guizarde , au 71 r Hautes Guignières , au 41 rue Hautes Guignières et au moulin de Foussard, 28 rue de Foussard
en accès libre, excepté le moulin : samedi et dimanche de 10h à 18h
“Sur la brume qui manque à nos jours”, Chau Cuong Lê, restitution de la résidence LIGER
avenue Jules Lemaître
en accès libre
“Dust”, Jérémie Lenoir”
les Fontenils
en accès libre
“Exploration de la paréidolie et de l’abstrait”, restitution de l’atelier de pratique amateur mené par Nicolas Hermann dans le cadre de la résidence ARDELIM
Maison ligérienne de l’Image
samedi et dimanche (horaires à venir)
et à Beaugency
“Mon monde dans la boîte”, restitution des ateliers pédagogiques menés par Arianna Sanesi dans le cadre du dispositif Été culturel
Espace Agora
horaires d’ouverture sur https://www.beaugency.fr/mon-quotidien/solidarite-et-sante/lagora/
PROGRAMME DES EVENEMENTS
samedi 21 septembre
Maison ligérienne de l’Image
14h30 inauguration en présence de Chau Cuong Lê et Yoriyas
15h performance de danse et photographie de Yoriyas
16h départ pour la visite des expositions
20h30 soirée de projection BiodiverCiné - Valimage
samedi 5 octobre
Maison ligérienne de l’Image
20h30 soirée de projection Zone i, Espace dédié à l'image et l'environnement à Thoré-la-Rochette (41) www.zone-i.org
samedi 12 octobre
les Fontenils
15h présentation de l’exposition de Jérémie Lenoir en présence de l’artiste
Maison ligérienne de l’Image
20h30 soirée de projection Promenades photographiques de Blois
INFORMATIONS DETAILLEES
“Casablanca not the movie”, Yoriyas
Lorsque Yoriyas voyageait autour du monde en tant que breakdancer professionnel et chorégraphe, on lui demandait souvent d'où il venait. Quand il répondait qu'il était de Casablanca, les gens pensaient immédiatement au film Casablanca, imaginant des chameaux, le désert et une atmosphère orientale. Face à ce décalage entre la réalité et le fantasme, il devait expliquer la vraie Casablanca, une ville mêlant tradition et modernité. Une blessure au genou l’ayant contraint à arrêter la compétition, il est rentré à Casablanca et a commencé à arpenter les rues pour sa réhabilitation, équipé de l’ appareil photo qu'il utilisait pour mémoriser lieux de compétition et hôtels pendant ses tournées. Yoriyas nous montre Casablanca de l'intérieur, en photographiant la ville « comme s'il était invisible ». En tant que Marocain qui est né, a grandi et vit toujours à Casablanca, il saisit les instants de contrastes entre Orient et Occident, entre tradition et modernité, entre la communauté et l'individu. Ses images restituent fidèlement la Casablanca contemporaine. « Le cadre de l’appareil est comme une scène de théâtre, explique-t-il. Les personnes dans le cadre sont mes danseurs. En déplaçant l’appareil, je chorégraphie mes sujets sans même le savoir. Quand un mouvement intéressant attire mon attention, je presse le déclencheur. Mon entraînement m'a appris à comprendre immédiatement l'espace, le mouvement, la connexion et la narration. Je photographie de la même manière que je chorégraphie. » Les paysages et les gens de Casablanca, vus avec la sensibilité de Yoriyas, nous transmettent la nature multiple de la ville et la véritable valeur de sa diversité. Yoriyas espère que les spectateurs « ne regarderont pas les photographies de face, mais se pencheront et se déplaceront autour, comme s'ils dansaient ». La plupart des gens ont vu le film Casablanca. En fait, le film n’a même pas été tourné dans la ville, mais dans un studio hollywoodien. Casablanca est la plus grande ville du Maroc où les gens se rencontrent, travaillent, échangent, ne font rien et affichent leurs apparences, cultures et identités. Casablanca est riche de ses contrastes. Certains de ces moments se produisent chaque jour, d'autres n’arrivent qu’une seule fois. Ainsi, en une photographie, nous pouvons voir, apprécier, réfléchir, hésiter et nous soucier davantage d'une scène que nous n’aurions pu le faire si elle n’avait pas été saisie. Ce projet documente de tels moments de contraste, dans le but de livrer un aperçu intime et personnel de la vie à Casablanca: le point de vue d'un Marocain qui est né, a grandi et vit toujours là-bas.
Biographie : Le photographe et chorégraphe marocain Yassine Alaoui Ismaili (Yoriyas) s'est d'abord fait connaître en tant que breakdancer professionnel avant de se lancer dans la photographie en 2015. Son travail, qui va de la performance à la photographie, se concentre sur la manière dont nous habitons et nous approprions l’espace public. Il documente la vie quotidienne et les changements sociétaux au Maroc – en particulier à Casablanca, sa ville natale – et en Afrique. Ses clichés spontanés se distinguent par une qualité intuitive et une utilisation délibérée de la couleur. Yoriyas s'appuie sur son expérience en chorégraphie pour renouveler les perspectives. Ses scènes prises sur le vif témoignent de sa maîtrise de l'espace et du mouvement. Son intérêt pour les mathématiques et les échecs se reflète dans ses compositions équilibrées et complexes aux plans distincs. Il a reçu de nombreux prix, dont le Prix International de Photographie Contemporaine – CAP Prize, le Prix des Amis de l'Institut du Monde Arabe pour la création contemporaine arabe, et le Prix Taklif du Festival de Danse Contemporaine On Marche. Il a exposé et performé dans des institutions et festivals internationaux tels que la Fondation d’entreprise Hermès (Paris), la 836m Gallery (San Francisco), l'Institut pour la photographie (Lille), le festival Kyotographie (Kyoto) la galerie Agnès b (Tokyo). Il a été le commissaire, avec Carine Dolek, de Sourtna, l'exposition inaugurale du Musée National de la Photographie du Maroc, également montrée aux sièges de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International (Washington).
“Sur la brume qui manque à nos jours”, Chau Cuong Lê, restitution de la résidence LIGER
“Dans la brume qui manque à nos jours “ est un projet lié au paysage et la mythologie fantastique possible du territoire ligérien, réalisé dans le cadre de la résidence LIGER (dispositif CAPSULE du ministère de la Culture). Entre novembre 2023 et et février 2024, Chau Cuong Lê a sillonné l'espace entre Tavers et Mareau-aux-Prés pour construire une narration fantasmée, un portrait du paysage de la région naturelle du Val de Loire à travers notre rapport à la nature.
“Je l’ai pensé comme une promenade. Telle Alice qui se perd en courant après le lapin, nous passons sans nous en rendre compte de l'autre côté du miroir, abandonnant la brute immensité des champs pour pénétrer une silencieuse forêt fantasmée. La traversée dure un temps, et peu à peu nous revenons à la réalité, sortant des sombres profondeurs pour retrouver horizon et couleurs. Mais le voyage n’a pas été sans conséquences, on en rapporte un peu de l’étrangeté, malgré nous; cette altération persistante et organique des corps, visages et paysages. Ce sentiment sourd de baigner pour toujours dans un rêve éveillé, dans la brume qui manque à nos jours.”
Chau Cuong Lê développe un travail photographique axé sur la valorisation de l’environnement de vie quotidien, afin d’en aborder les interrogations intimes et d’en révéler la beauté. Par une approche à la fois plasticienne et documentaire qui favorise l’association d’images, il part d’un individu ou groupe d’individus avec le souci d’évoquer - par le biais de l’intimité - des préoccupations à la porté universelle : rapport à la jeunesse, notion d’attente et de temps suspendu, regard de l’autre, lien à la nature ou à son environnement de vie, questionnement spirituel, exclusion et solitude... Son processus de travail se caractérise par une orchestration des images qui suit la collecte de matériaux photographiques. Le résultat est un corpus d’images constituant une mosaïque visuelle où se répondent portraits, vues de détails et photos de paysages. Se construisent alors des polyptyques, qui se nourrissent mutuellement pour créer une narration immersive. Il cherche à s’ancrer dans un travail d’auteur documenté, qui investit un champ et/ou un territoire pour en donner une vision personnelle. L’idée est de porter le public, de l’informer puis de l’amener à s'identifier au sujet, qu’il trouve une résonance avec ses sensations intimes et sa propre vie. Son approche se caractérise par l’étude de l’intimité, l’exploration d’une sensation d’attente minimale, la confrontation à l’incertitude et aux mutations quotidiennes, ainsi que la contemplation d’une nature expressive. Son travail suit un processus de déambulation, où la marche prend tout son sens et sa place. Elle lui permet de parcourir l’espace, de favoriser la contemplation et de réaliser des rencontres intimes et dialoguées à hauteur d’homme.
Biographie : Formé au photojournalisme à l’Emi-Cfd, Chau Cuong Lê est cofondateur du collectif Ba-SoH. En 2019, sa première résidence de création au Festival Planches Contact de Deauville donne lieu à « Standing on the beach, staring at the sea », un travail sur l’adolescence qui reçoit le Grand Prix du Jury et le Prix du Public. En 2021, il obtient la bourse du Cnap pour « Le champ des étoiles ou la terre remuée – Part.1 », réflexion sur le chemin de Compostelle commencée après le premier confinement. En 2022, il est lauréat de la grande commande photographique de la BnF et du Ministère de la Culture, et reçoit également la bourse Territoire(s) du In Seine-St-Denis / MC93. Il développe alors « Un peu d'eau claire et des peupliers à perte de vue », un projet sur le lien à la nature des habitants du département. En février 2023, il effectue une résidence à Wilson, Caroline du Nord (USA) avec le Festival Eyes On Main Street. En hiver 2023/2024, il réalise « Sur la brume qui manque à nos jours… » lors de la résidence LIGER avec Valimage. Au printemps 2024, il crée « Dans l’épaisseur fragile des neuf croix » à la résidence du Centre d’Art et de Photographie Lumière d’Encre de Céret. Son exposition « Un peu d'eau claire et des peupliers à perte de vue », inaugure le nouvel espace du 19M, la Parcelle, en accès libre jusqu’au 27 octobre 2024.
“Dust”, Jérémie Lenoir”
DUST est un travail photographique réalisé entre 2015 et 2017 à Salt Lake City aux États-Unis. Ce projet parcourt la frontière entre l’eau et la terre tout autour du lac salé, là où s’installent les exploitations humaines de sodium, magnésium, potassium et pétrole. Rien n’est retouché ou modifié dans les images ; les formes sont composées par les machines ou les écoulements, alors que les couleurs sont l’œuvre d'algues, de micro-organismes ou d’additifs accélérateurs d’évaporation. DUST poursuit l’étude du paysage menée par Jeremie Lenoir en expérimentant les limites du médium photographique et nous met face à la perte de sens et d’identité dont nos territoires contemporains sont les premiers témoins. Produit des processus politiques et économiques, le paysage contemporain évolue aujourd’hui jusqu’à disparaître dans son assujettissement. Les «tiers paysages» ou les «non lieux» de Marc Augé se multiplient avec analogie à grande échelle, alors que les périphéries saturées des villes se cloisonnent dans des architectures impersonnelles et déshumanisées. Depuis 8 ans, les divers travaux du photographe proposent de construire une anthropologie des territoires en observant leurs évolutions, leurs mutations, et en montrant comment peu à peu les formes et fonctions de nos espaces de vie se globalisent. Au sein d’espaces vernaculaires, ses études photographiques tentent de renouveler les postulats émis par la DATAR et le géographe américain John B. Jackson dans les années 80. Les prises de vues qui les composent n’ont pas de sujet propre ou d’intention visant une représentation objective d’une «vérité» du paysage. Composant une mise à distance ontologique, le point de vue aérien est utilisé comme outil et non comme finalité, permettant ainsi, au travers d’un parti pris pictural très fort, de se dégager des codes de la discipline. S’inscrivant dans la sérialité, les photographies font sens et corps sans individualité grâce au respect d’un protocole de réalisation rigoureux, à la sélection précise des lieux capturés, et au dessin de cadrages volontairement désorientants. L’abstraction, la platitude et la neutralité sont ici revendiquées comme interfaces entre le fond et la forme des sujets, construisant minutieusement ce que Barthes nommait des «photographies pensives». La suppression d’éléments majeurs – le ciel, la ligne d’horizon ou les infrastructures identifiables – nous perd dans un univers irréel que nous ne parvenons plus à reconstituer mentalement de notre point de vue familier. Dès lors, il ne reste de la réalité que des géométries radicales ou des textures indécises, des lignes totalitaires ou des frontières confuses. Nous devons décrypter l’image afin d’accéder à la compréhension de sujets issus d’un monde que nous savons réel, mais que nous ne pouvons immédiatement accepter. Dans un second temps, la conjugaison du point de vue aérien et de l’abstraction permet d’interroger la capacité de nos territoires contemporains à délivrer une quelconque forme d’intelligibilité. Que regardons-nous ? Que faisons-nous ? Que construisons-nous ? Dénigrés comme «lieux» à part entière, les espaces ici capturés se transforment en objets portant dans leur forme un engagement social et révélant, comme dans les productions d’Holger Trülzsch, «une matrice» de notre société. Entre la nécessité de capturer le réel et celle de sa transfiguration en tableaux, ses photographies tentent ainsi d’apporter à nos territoires contemporains un réalisme nouveau. Le projet a bénéficié du soutien de la Région et de la DRAC Centre-Val de Loire.
Biographie : Né en 1983, Jérémie Lenoir est diplômé de l’École Polytechnique de l’Université de Tours et de l’École Supérieure d’Art et Design d’Orléans. Visant une approche anthropologique plutôt qu’une représentation objective d’une “vérité” du paysage, les photographies de Jeremie Lenoir proposent un voyage singulier et sensible dans ce que l’ethnologue et anthropologue français Marc Augé nommait les «non lieux». Tout autant influencé par les artistes de la Kunstakademie de Düsseldorf que par les peintres expressionnistes abstraits et Rothko, Noland, Soulages, Malevitch, son travail tente une représentation du réel et sa transfiguration en tableaux : entre imaginaire poétique et préoccupation sociale, il aspire à apporter à nos territoires contemporains un réalisme nouveau. Depuis 2011, son travail a été présenté à la Collégiale Saint-Pierre-le-Pueller (Orléans), Lasécu (Lille), la Galerie Guillaume (Paris), le Moulin de la Filature (Le Blanc), le Parvis du Stade de Franc ( Saint-Denis), Colysée (Lambersart), CAUE 92 (Nanterre) et Paris Photo. Jeremie Lenoir a été lauréat des prix 7 Lézards, Plaine Commune, Emmanuèle Bernheim et Écoutez-voir Carré sur Seine, et finaliste de la Bourse du Talent et des prix Hasselblad Masters et Roger Pic.
“Exploration de la paréidolie et de l’abstrait”, restitution de l’atelier de pratique amateur mené par Nicolas Hermann dans le cadre de la résidence ARDELIM
Nicolas Hermann, artiste en résidence dans le cadre de ARDELIM 2023/2024, a accompagné un groupe de participants pour un atelier de création de 4 journées. L’atelier visait à offrir une expérience enrichissante et interactive en photographie, tant diurne que nocturne, avec un accent particulier sur l’échange et la discussion avec les participants. Dans un espace d’apprentissage collaboratif et flexible, les participants ont pu s’exprimer librement et explorer leur créativité.
et à Beaugency
“Mon monde dans la boîte”, restitution des ateliers pédagogiques menés par Arianna Sanesi dans le cadre du dispositif Été culturel auprès des publics du Lab’O des possibles et des jeunes des Griottins et de la Maison de la Jeunesse
Projection "BiodiverCiné" Valimage: Projections des créations réalisées sur le territoire par les deux artistes accueillis en résidence en 2023 et en 2024 et les restitutions des cinq courts métrages réalisés collectivement par des amateurs lors des ateliers sous la conduite d’artistes. Le programme BiodiverCiné est une action culturelle autour de l’audiovisuel et du cinéma inscrite dans une perspective de sensibilisation aux enjeux de la biodiversité. Il est porté par Valimage dans le cadre de la Stratégie Biodiversité 2021-2031 du Pays Loire Beauce. La résidence a pour objet de donner à un artiste visuel les moyens d’expérimenter et d’interroger sa pratique en la confrontant au territoire du Pays Loire Beauce. Cette démarche participative mêlant pratiques professionnelles et pratiques amateurs s’inscrit dans la stratégie globale de préservation et d’amélioration de la biodiversité menée par le PETR du Pays Loire Beauce sur une période de 10 ans (2021-2031). Elle bénéficie également des financements du Fonds d’Encouragement aux Initiatives Artistiques et Culturelles des Amateurs (FEIACA –DRAC Centre-Val de Loire) et du Fonds de Développement de la Vie Associative (FDVA géré par le ministère chargé de la vie associative).
« La biodiversité, une espèce rare » : Un parcours initiatique de la ville vers la forêt qui questionne ce que pourrait être la biodiversité sur le territoire. Réalisateur : Nicolas Témieau, 2023
« Elémentaire, mon cher sol» : Une tentative de révéler l’invisible croisant images réelles et animation traditionnelle en peinture sur verre. Réalisateur : Guillaume Mariotti, 2024
“Restitution des ateliers avec Mallory Grolleau” : « Les Mauves » 2022, Atelier ouvert au tout public, « Le Rû » 2022, réalisé avec les jeunes du Lab’O des Possibles, Beaugency, « Le Lien » 2022, réalisé avec les enfants du centre d’accueil loisirs Les Griottins, Tavers, « Le couvert herbacé » 2023, Atelier ouvert au tout public, réalisé avec les jeunes du Lab’O des Possibles, Beaugency.
Projection Zone i - Espace dédié à l'image et l'environnement à Thoré-la-Rochette (41) www.zone-i.org INFORMATIONS A VENIR
Projection "Campus International" Promenades Photographiques de Blois
En amont du festival, les Promenades Photographiques organisent une résidence dédiée aux étudiant.e.s d’écoles de photographie internationales. Pour les participant.e.s aux identités plurielles, c’est un terrain de liberté et de contraintes où l’expression est accompagnée par des enseignant.e.s d’écoles partenaires. Au sein de cette résidence, les langages photographiques se rencontrent, se croisent, dialoguent et se renouvellent. Chacun.e photographie de concert, se prête au jeu du collectif au service d’une exposition de groupe. Accompagnés par un groupe de photographes professionnel·les intervenant·e·s, les jeunes se confrontent pendant dix jours à toutes les étapes du processus d’une création collective. L’engagement est commun pour l’art et la pédagogie : prise de vues, sélection des images, post-production. Ce travail se finalisera par la réalisation d’un film photographique, intégré à la programmation des Promenades Photographiques, projeté durant la soirée d’ouverture des “Jours de Fête” le jeudi 25 juillet 2024. L’enjeu du CAMPUS est de perpétuer le questionnement, le dialogue artistique, proposer des écritures multiples, promouvoir la jeune création, ces essentiels que les Promenades Photographiques soutiennent et défendent.
Agenda
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Ateliers initiation au tirage argentique
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Les rêves ont-ils des titres?
Nicolas Hermann
ARDELIM 2023-2024
Dans le cadre de la Résidence ARDELIM, nous avions reçu Nicolas Hermann cet hiver. Il nous présente son travail à travers l’exposition “Les rêves ont-ils des titres?” à l’église Saint-Étienne
La fête du court métrage
Soirée “En haut de l’affiche” En cas de crise, pas de panique, nos comédiens ont la solution le 21 mars 2024, 20h30 à la Maison ligérienne de l’Image 1h30 à
Atelier “Exploration de la Paréidolie et de l’Abstrait” avec Nicolas Hermann
Nicolas Hermann, artiste en résidence dans le cadre de ARDELIM 2023/2024, accompagne un groupe de participants pour un atelier de création de 4 journées. L’atelier vise à offrir une expérience
Résidence Ardelim 2023:
rencontres avec Nicolas Hermann
Nicolas Hermann est le lauréat de la 10e édition de la résidence ARDELIM. Artiste visuel qui utilise la photographie, la vidéo et le son pour investir sa relation au monde